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Sobieski trouva Halina dans son salon avec madame Gorska, cette dernière assise dans une niche de poêle, imperturbablement occupée de son tricot, et témoin fort peu gênant, puisqu’elle n’entendait pas un mot de français, langue qui était aussi familière à Halina et au jeune Sobieski que leur langue maternelle.

Halina ne pleurait plus ; mais ses yeux fatigués des pleurs qu’elle avait versés avaient une expression de douceur et de mélancolie qui répandait sur toute sa figure un charme inexprimable.