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puis accueillir… Mon âme est un rosier dont la fleur sèche avant d’éclore… Mon destin, c’est de vivre à Pont-sur-Deule et non pas à Naples ; de filer la laine de mes songes, dans l’ombre du foyer, au lieu de perdre des jours et des jours ici où tout me gêne et me repousse…

Au revoir, mon ami. Je dois écrire encore à maman et à notre Isabelle qui se plaint toujours et qui m’envie… Si elle me voyait !…

MARIE.