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vivrait plus que dans le cœur obstiné d’Hélène, déformé, altéré par le mirage du souvenir.

Et l’incertaine vision s’en irait de plus en plus confuse vers cette seconde mort — la mort définitive — qui est l’oubli des vivants.

— « Rends-moi le bien-aimé de mon cœur ! » chantait l’Yseult de Wagner dans ma mémoire.