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la médication, la vaccination et l’immunisation ─ ils l’obtiennent. N’y a-t-il rien à faire pour un médecin ? Si, bien évidemment ! Il devrait pénétrer dans la chambre de malade avec le sourire et des mots encourageants, libre de toute odeur, pur et propre ; être naturel et sans affectation. Il ne devrait pas dire combien d’accouchements il a accompagnés la nuit précédante, ou combien il en a vécu au cours des dix années passées. Le faire-valoir n’est pas de mise dans une chambre de malade. Les patients devraient avoir confiance en leur médecin et s’il fait beaucoup de lesssive médico-politique, le patient s’en rend compte et cela atténue la confiance. Il devrait conseiller un énéma quotidien ─ un lavage stomacal si nécessaire ; quelque chose de chaud aux pieds, une tranquilité parfaite, pas de nourriture, liquide ou solide, et pas de médicament du tout, mais autant d’eau que désiré, un bain chaud le soir, un bain chaud si nécessaire en cas de douleur, et aussi souvent que nécessaire pour garantir le confort. Le repos, la chaleur, l’air frais et le calme aident à la guérison. Puis le médecin devrait éduquerson patient à de bonnes habitudes de vie, de manière à évider de futures cries de Toxémie.

Quand ce régime est mis en œuvre, et que docteur Nature est autorisé à œuvrer l’affirmation pessimiste d’ « Anonymus » selon lequel « peu de maladies peuvent être guéries et améliorées » peut être remplacée par « toutes les soit-disant maladies aigües peuvent être guéries ; et le patient restera guéri s’il s’auto-contrôle quant à ses mauvaises habitudes