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d’heure pour qu’il soit soulagé. Le mari devint très enthousiste du fait que sa femme fut délivrée de sa peine sans médicaments pour la première fois en vingt deux ans. Mon commentaire sur l’avènement de ce réjouissement : « Votre tabagie et la médicamentation des médecins étaient responsables de sa souffrance inutile durant près d’un quart de siècle.

Le soulagement médicamenteux, de quelque origine, fait échec à l’élimination et empêche l’organisme humain de se nettoyer. Dans ce cas de migraine, chaque fois qu’une crise d’élimination se développait, le médecin refermait les portes de sortie et les barrait avec l’aide de la morphine. Ma prescription renversa le processus, elle ouvrit toutes les portes, avec pour résultat qu’elle n’eut plus jamais d’autre mal de tête après celui que le bain chaud soulagea. Naturellement, j’ai par la suite également eu à renégocier de nouvelles habitudes alimentaires et de vie. Les gens, qui n’ont pas de mauvaises habitudes, ne sont jamais malades.

Au même moment, j’avais en consultation une autre femme, qui avait souffert durant 60 ans de paroxysmes hebdomadaires de migraine. Comme pour le premeir cas, elle avait reçu des prescriptions médicamenteuses de nombreux médecins, et lui dit qu’elle ne devait pas imaginer guérir jusqu’à ce quelle accepte de changer de vie. La femme eut aussi un paroxysme après avoir stoppé la prise de médicaments et après avoir fait quelques changements dans ses habitudes quotidiennes.

Il y eut deux patients atteints d’ « affections terribles », qui étaient entretenues à leur « terrible » condition par une médication insencée et criminelle ─ et cela, aussi, de par les prescriptions de médecins détenteurs des diplômes de facultés de premier ordre.