et Corbeil, où il allait voir son demi-frère, M. Boyer, au mois de février 1857.
À quelques mois de là, le 27 juin 1857, Brizeux revenu à Lorient, écrivait encore à son ami Bertrand.
« Je veux te remercier, mon cher Bertrand, de l’aimable visite que tu as faite à ma mère, lors de ton voyage à Lorient. Elle y a été sensible et pour elle et pour moi.
« Ainsi ton mariage est enfin accompli, sans doute avec la fille de Navelou. J’aimerais bien à t’aller visiter dans ton ménage et passer encore quelques jours avec vous et mes bons amis de Scaër. Tiens-tu toujours ton auberge et, comme l’an dernier, pourrais-tu toujours me recevoir ? Réponds-moi à Quimper, poste restante. J’y serai samedi prochain. Mais je n’espère pas, cette fois, revenir par Scaër. Il n’est guères probable que, par ce mois de travail, tu puisses toi-même t’absenter.
« Donc, cher Bertrand, écris-moi en m’envoyant quelques nouvelles du pays. Quel a été le remplaçant de M. Le Bec ? Depuis qu’il a quitté Scaër, je n’ai plus de nouvelles de celui-ci.
« Bien à toi, pôtr Kerné.
« Mes bons souvenirs à ton père, et aussi à tes parents ; puis à Jérôme Huiband, Jakez, etc… J’oubliais de te dire que le rhume qui me gê-