bambou, et A par nattes de bambou de couleur bleue (lan).
Hien, corde d’instrument de musique ; ko, chanter ; thsieou, vin ; yen, repas, festin.
Dans un festin, on boit aux sons de la musique et au bruit des chansons.
Tsie, joindre ; pet, petite tasse ; kiu, lever en haut ; chang, goblet.
On choque les petites tasses, on élève en haut les goblets.
Kiao, lever en haut ; cheou, main ; tun-tso, frapper des pieds contre terre.
On lève les mains en haut, on frappe du pied la terre.
Youe-yu, se réjouir ; tsie, et ; khang, paix, félicité.
On s’abandonne à la joie et l’on est heureux.
Ti, fils légitime ; heou, venir après ; sse-sou, continuer (B).
Un fils légitime succède à ses parents et continue leur lignée.
Tsi-sse, offrir un sacrifice aux ancêtres ; tching, offrir un sacrifice en hiver ; tch’ang, offrir un sacrifice en automne.
Il offre des sacrifices à ses ancêtres ; il en offre d’autres en automne et en hiver.
A : Le sacrifice du printemps s’appelle yo (Basile, 6995) ; celui de l’été s’appelle ti (7070) ; il faut les sous-entendre.
C : Au printemps on offre un sacrifice pour demander que les fruits de la terre naissent ; en été, pour qu’ils grandissent ; en automne, pour offrir des grains nouveaux dans le temple des ancêtres ; en hiver, pour remercier le génie de la terre de la maturité des grains.
Khi-sang, baisser le front jusqu’à terre ; sai, un seconde fois ; paï, saluer.
Dans ces cérémonies, on baisse la tête jusqu’à terre, et l’on salue à plusieurs reprises.
Song-kiu, craindre ; Kong-hoang, craindre.
On est pénétré d’un sentiment de crainte et de respect.
A : Les deux expressions song-kiu et k’ong-hoang ont également le sens de craindre.
Tsien-thie, lettre ; kien, abrégé ; yao, concis.
Celui qui écrit une lettre doit être bref et concis.
Kou, voir ; ta, répondre ; chin, examiner ; thsiang, expliquer une chose complètement.
Mais lorsqu’on est en présence de quelqu’un, il faut lui faire une réponse précise et complète,
Hiai, les os, les membres du corps ; heou, sale, être sale ; siang, songer ; yo, se laver.