Page:Theuriet - Gertrude et Véronique, 1888, 4e mille.djvu/47

Cette page n’a pas encore été corrigée


— Nous avons encore quatre jours jusqu’à la fin du mois, reprit froidement la veuve, je pense que vous les emploierez à réfléchir…. Bonsoir, ma nièce.

Elle s’apprêtait à lui tendre machinalement son front comme chaque soir, mais Gertrude se borna à la saluer et sortit sans ajouter une parole.