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Après avoir fait ses diverses recommandations, il mourut, dans la vingt-sixième année de son âge[1].

  1. Dans la suite, dit l’édition in-18, on a écrit sur lui les vers qui suivent :

    « Seul, il conquit les provinces du sud-est de la Chine, et les hommes l’ont comparé à Pa-Wang.
    » Il méditait ses attaques comme le tigre (qui songe) dans sa tanière ; il se précipitait à l’exécution de ses projets comme le faucon qui s’élance dans les airs.
    » Il soumit à sa puissance les trois bras du fleuve Kiang, et sa renommée se répandit comme un parfum entre les quatre mers.
    » Au moment de mourir, il légua à son successeur l’accomplissement de ses grandes entreprises, et en confia la direction à Tchéou-Yu. »