qu’on trouve quelques lignes plus bas désigné par les deux noms réunis, Ting-Kien-Yang.
Nous avons multiplié par dix le nombre des mesures de grain, parce qu’il y a en chinois une expression qui signifie dix petits boisseaux ; chy, en mandchou houle.
L’Histoire générale de la Chine confirme ces odieux détails de la mort de Tong-Tcho et les rapporte presque dans les mêmes termes.
L’histoire de l’écrivain Ssé-Ma-Tsien se trouve dans les Mélanges asiatiques de M. Abel Rémusat, et dans les Portraits des Chinois célèbres, vol. III des Mémoires, page 17.
Ces quatre lieutenants de Tong-Tcho étaient venus avec lui du Sy-Liang. Voir page 42.
Littéralement : « Reparaîtront en dedans des passages. » On se rappelle que les mécontents s’étaient retirés hors de la capitale et de son territoire, dans les provinces, pour s’y rassembler et y organiser la résistance aux tyrannies de Tong-Tcho.
Ce passage présente quelque difficulté ; nous le traduisons mot à mot : « Ayant écrit les dignités qu’ils réclamaient, ils vinrent présenter (leur requête) à l’empereur. Comme par la violence ils avaient déjà un rang égal (à celui qu’ils exigeaient), le prince consentit aussitôt à les leur accorder. »
Nous avons expliqué plus haut (à la note de la page 84) ce que signifient la hache et le sceau.