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sso PLA UTE. J`7¢cur. volontiers. v Call, Tranîon , reste tranquille,je te le conseille (all. I) abord , avant tout, vous n ignorez pas Nzcur. be vous inquiétez pas, le conseil est qoeje suis le camarade de votre fils. ll est venu me superdur je le forcerai bien detre tranquille aveu trouver : 1l n ose pas se presenter devant vous , par- les etrivleres. ce qu`il sait que vous etes instruit de sa conduite. Call. Cette rigueur est inutile : allons, laisse;- Maintenant, Je vous prie de lui pardonner sa folie vous tléchir. en faveur de son inexpérience , de sajemiesse: c`est Theur. Cessez de me supplier. votre fils, et vous Savez que ces Ctourderies sont Ita- Call. Je vous en supplie, par Hercule. turelles a son âge. Tout ce qu il a fa1t,iI la fait de îlïzeur. Cessez de me prier, vous dis-je. compagnie avec nous; et nous sommes ses compli· Call. Vous me le défendez en vain. Grâce pour ces La dette et es Amterêts, tout largent qu’1l a cette fois, pour cette fois seulement, en ma consi- depense pour sa maitresse, nous payerons tout de dération. notre bourse, et non de la vôtre, en nous cotisant. Tran, (à T/zeuropide.) Pourquoi vous faire tant Tueur. ll ne pouvait m envoyer un oréltëuf plus prier? Comme si dès demainje ne devais pas en mé- perstlëlsifl Je IIC conserve p us contre lut Ill colere rtter autant. Vous vous vengcrez a la fois du present 111 mauvaise humeur. Bien plus , il peut en ma pré- et du passé. sence aimer, boire, ct faire tout ce quit lui. plaira'. (jagt Lajgggpvgug touctmn Pourvu quil se repente de sa prodigalite, Je serai Meur. All0ns,va·t‘en:jete pardonne. (Moutrant satisfait. ' ' r · Callêdamate.) Mais c‘est lui que tu dois remercier-. call. ll est penetre de repentir. I _ _ (Au pubIic.)Spectateurs, la pièce est jouée; applau- d 1`ron. Le voila pardonne. Mais moi, que vais-je 555% evem ? Tl 1- T f . , , . , (1) Le Rzuerumta inspire beaucoup dïmltatlons. Dès xsçn, un de ' léltf. ti SCYBS ustxge OU hûtlil Cl UD glllet , SCE- nos vieux not-Etes, P. la nlvey, a transporté ce sujet sur la scène fran- lêfûtl çatse, dans une comedie intitulée les Esprits, grossière traduction: mm. tram mai repentir? ;‘,“L.11îî."";.·Lî.Jï‘;‘î§$l"ï‘°·€.°î«."'$â$22T§"§’î.;l'.L‘î§ i2îï°.‘l'Z‘î Thgyyy TU pépirag Sous les ggups i je le jure Sup dc son Comédien poéfc avec l`lI1CldcI)t dt la Iotxrberlu dc Tranionçg · pulslt en il fait une piece entiere , sous le titre du Gascon. sans ma vm· conduite, où I’on trnuvc quelques vers heureux ct un dialogue fa- Cq]l_ Qug 1;; grâce Soit complète ; pardonnez à one.-Un de<ptus splrltucls ctrivnins étrani:«·r~, itdttisou, que von- Tranion pour l’an1our de moi je vous en prie "°“%d° mF,È,t° B:'m°'°°ît S`?`:": ïmsi,m°',;e°f7'î, le . ’ ` Tam OU!". t tlmîîtdf qu 8 B Il tl ph HG B OH I‘C·î Thgyyg Youg ghtigndygz tout de mg], excepté de qu`un froid accueil, Enllu Deslouchcsra imite deux foisla pièce de · · · Plante et même celle d'Add«son. Le I' mbuur nocturne est regle I i I f b d ud msscr lmplm es BS Our emes B ce mam · au répertoire de notre tI1càtre;lo Tremrcaché nejouit pas dc ect . · à I ` . h un u u’ n Ifct tt nc merite nl par la vlvacté de t’lit ign , îçu Pardonnez lu [ Je vous el} cmëjuîe d T nijpaî làgîemcnîdes détails. ·-Parmi ces imitations, la palme nus;

  • 8**7* (monham a Pqsture mm En B 8 m' semble demeurer au peut acte de Regoard, si plein ne verve et de

nîon.) Tenez , regardez I’att1tude du pendard. smte- _ Propteren, qua: fecit, quia te scire scit : nunc te oliseero , Thcur. Aliquid quidvis inpetrori a me facilius perieram, Stultitiœ adulescenilaeque e_|usingnoscas,tous est. Ita! Quam ut non ego rstum pro suis factxs pessumis pessppi Sois solere illanc eetatem tait ludo ludere. prem m. _ · 1 I 5 Quidquid fecit, nobiscum una fecit, nos deliqnimus, Callid. Ivfitte , quzeso , istunc. Tlwur. Hem, vidcn ut resta! Fœnus, sortern, surntumque omnem qui nmicu est, omnia furcllet? _ _ _ _ Nos Idablmus, nos conferemus, nostro sumtu , nou too. H3!) Callzd. Tranlo, quiesce, si sapis. Thema Tu quiesce hane Theur. Non potoit venire orator magie ad me inpetraliilis , rem modo _ _ _ Quam tu, neque iili sum iratos, neque quidquam snhcen- Petere : ego lllum verberioos, ut sit qnietus , snbegero. seo. Catlid. Niliil opus est proie-oto; age jam , sine tc exorarier. lmo me prœsrnle amato, blbito, fucito quad Iubet; Theur. Nolo ores. Cnltid. Quteso, hercIe..Them·. Nolo, in- Si hoc pudet, fecisse sumlnm, snbplîci haben satis. quam, ores. Calhd: Nequidquam nevis. llüû Catlid. Dispudet. Tran. Dat islam veniam; quid me üet Hanc modpl imam no’x1am,unum, quœso; fac causa pieu. mmc jam') Ilm Tmn. Qu gravaris. quest nou CNS jam c0I1m<·I'ca.m a tam Theur. Verberîbus ea-dere, iutum, pendens. Tran. Tame- noxinm : _ _ nels] puget} lbi utrumque, et hoc et illud, poteris ulclsci probe. Meur. Interimam, hercle, ego, si vivo. Cullid. Fac istam tlalprlt Sizun;) tp exorlem. Them. Age ahi, abi Inpnne ; hem cunctnm rutîam: \1l¤ T1 G 0 Em Mim- Trnnionl remâte, qunso, hnnc noxium causa men. Spcclatores, fabula mec est acja : sos plausum date. usr-