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de flûte; puis je porterai l'argent avec Apécide. bles. Une chose metourmente encore l‘esprit. Quelle Périph. Combien m’en coûtera-t·il pour le moins? musicienne dois-je amener à Apécide? Bon ! j’ai mou Epid. Ilesclave? vous ne l’aurez pas, Je pense, affzure. Ce matin le bonhomme m’a ordonné de lui à moins de quarante mines. Si vous me donnez da- amener une musicienne,p0ur chanter pendant qu’il vantageqe vous le rapportera:. vous fereznne bonne ferait un saeritice ; Je vais en louer une à qui j’aurai affaire, et vous ne serez pas dix gouts sans retirer soin d’apprendre le rôle qu’el|e doit jouer avec le votre argent. v1e1llard. Entrons et prenons Yargent de ce pauvre Périph. Comment? homme. Epic!. Parce qu’un autre jeune homme aime cette , , · femme éperdument; unllhodien très-riche, guerrier A C T IL F B O I S I E M E_ terrible , un vainqueur fanfaron (1) à qui rien ne ré- , siste. ll vous l’aolièter:1 au poids de l’0r : allons , ne L marchandez pas; vous avez un bénéfice assuré. \ Pé,.iph_ passe le ciel i STRATIPPOCIILS , CHÉRIBULE. Eïlîfi Vous l9Q¤\’€¤ Y <>0ml>l1€1’· _ Strat. L’impatience me ronge, me dessèchg; 1; · APEC- (fl P<î"Pf*¤M’·) _Q§1<= §1€fu8Z·"°¤$ @81 brûle d’apprendre le résultat desbelles paroles db- vous cherclier I argent? M01, Je V3lS 3 la Place. SU1S· pidicus. (Test trop longtemps être au supplice. Je mme Éludlcuï _ A _, _ veux savoir s`il a réussi. EPM- P¤€Sî€1·Y,l¤S<]¤ 8 06 (IUC lülllë VMS î‘€· Clzér. Ce secours ne doit pas fempêclier de te trouver. _ pourvoir ailleurs. ll m’a semblé d’abord que tu ne ~4·f’É‘?· Je *,ë*l’°}*l}d"‘¤‘l· _ devais pas compter beaucoup sur lui. Perip/z. (à Epzdwus.) Entre avec moi. I S,«,·a,·5_ Mm je Suis perdu! EDML AUCZ, Gûfïfpiël la Süffllfw ¢J€ D6 VQUS f6’;" (Jhér. ’I`u es fou! Pourquoi tc désespérer? WS âtlüïidïü- (A}J¢¢1d¢ SE ffmgtf du CW? de “ Strat. S’1l me tombe une ibis sous los mains, Io PIGCG; Pémphünü Tëtîtfë chez lm-) coquin ne se sera pas joué demoi impunément. Mais

 III. qup puis~jc exiger de lui, Iorsqu’un homme aussi

, _ ric ie que toi n’a pas un écu à prêter à son meilleur EPI DICUS. alni g Non, je ne crois pas qu’il y ait dans toute 1’At· 2 C/iér. Si j`avais de Yargent, je te le promettrais tique un terrain d’un aussi bon rapport que ce bien volontiers; mais il t`en viendra, je ne sais com- cher Périphane. Son coffre-fort a beau être bien ment, je ne sais d’où, ni par quel miracle , ni de fermé, bien scellé, j`en arrache autant d`argent que quelle mam; et tu as 1’espoir de partager avec moi _ je veux. Je crains seulement que S1 le vieillard de- ma bonne fortune. couvre mes fourberies , ses verges d’0rmeau s’atta- Strat. Malheur à toj , perfide! client à ma peau comme le parasite aux bonnes ta· Clzér. Quellefantaisie te prend de m’injurier? ai Les nmaiem avaient cette repmmm. Strat. Tu plaisantes avec tes je ne sais d’0ù, ni Atque id non decem ohcupatum libi erit argcntum dies. 280 Qug paclg |i;;1_"5uhdg]5_ advm-su; S,>m,m_ gm pm-5};;,, Qoidum? Epid. Quin enîm mulierem illam alius Ibo intro, argentum adcipiam ab damnoso sens. (Abi:) adult-scans depcrit, Auro opulenlus, magnus miles, Rhodius, raptor hostium, US. Gloriosus: hic emet illam de te, et dabit aurum lubens. _ Face modo : est lucrum heic tibi amplum. Periph. Deos SLENA PRIMA. quidem oro. Epid. Inpetras! I _·4pœc_ Quin fu ig imm , atquc hui; argonlum promis ; ggq STBAT PPOCLES, CHJERIBULUS, visam ad f01’\1m : 285 S; L E_ I d ed’0 · at I. Epidice, eo veni. Epid. Ne abeas, priusquam ego ad te ve- mmihïspcc nn Om I mlm-’ que emma Ol" quonmdo BMO- _ · Epidici lilanda dicln cvenlant : nimis dm maœmi-_ ,4pm:.Usque obperian PvrîPh· $¤¤t¤¢¤‘¢ W 1¤¤‘0· EPM- L Sitne quid, neo ne sit, scire cupio. L’hœr. Per illam um co- numera, nihil ego ie moror. Diam . . . Copiem parure aliam lieet : scivi equidem ln principîo 30* iv s . . . . . . (^°‘"‘1 f°""° A”°’°°’ P’"' W d°°`°`°) lnhco nullam tibi esse in 1llo coplam. Strat. lnterli, hcrcleî ego! SCENA TEHT[A` Chœr. Absurde facis, qui anges te animi. Strat. Si , hercle, EPIDICUSI ego illumsemel prclientlero, L Nunquam mritlere nos illum multum smam servom homl- Nullum use opinor ego agrum in agro Attico oem. I Eque feracem, quam hic est noster Peripbzmes : Quld illum ferre vis? qui , ühi quoi dlvitiœ domi maxumm Quin ex obeluso atque obslgnato armario 290 Sunt, is numum nullum babes, nec sodali luo in te co- Decutio argcnliiantum’quanIt1n¤ milil luhet. pia ’sf. Quod, pol, ego memo, si senex resciverit, Chain. Si, herele, habcam, pollicenr lubens ; verum ali- Ng noms parasites faciat, quœ usque adtonücnnt. · ahqua, ahqno modo, · • 310 sea mc una turbat res ratioque : Apœcidl Alicumlc, eb aliqui, ahqua ubi spes est (ore mecum fortu- Quam Osiendam tidicinam aliquu cond ucticiam. 295 quid, nam, I ( · Afqug iq quoque habeo : mnne me jussit senex Strat. Vœ tibi, muricxda homo. Chœr. Qui tibi lubet mm rpnduœre aliquam üdicinam Sihi huc rlomnm , male loqui ? U I · [mm mm ditinam faoeret, cantaret Sîbî. Slmt·_Q¤ippe tu mihi aliquid, aliquo modo, alicumlo, ah E3 coiiriuceîül’, Blqtlc El ])l‘PEm0D5l!`€lDll\l|’, lllqülllus lilulis , rmure. I3