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favorable pour jouer des reins et elle les remuait de plus en plus vite.

J’avais l’air d’avoir changé de sexe et d’être une femme recevant les assauts de son amant. En quelques instants j’aurais été mûr pour jouir, mais El Jelis ne put pas attendre ; ses fesses se posèrent lourdement sur moi, son fourreau se détendit et sa liqueur inonda mes parties génitales. Elle retomba dans mes bras avec un profond soupir, ce qui retira complètement mon membre d’elle et l’exposa comme une tour battue par la tempête.

Il s’affaissa aussitôt que les efforts stimulants d’El Jelis cessèrent. Je n’étais pas prêt à recommencer. Les femmes étaient trop polies pour en rire ; je m’étais donné trop de mal pour elles. El Jelis jeta l’écharpe, qui échut à la neuvième femme, puis se blottit calmement dans mes bras.

Cette dernière était une Parisienne qui se nommait Renée. Les autres avaient bien fait de la garder pour la fin, car c’était la plus belle femme de la pièce. La douceur et la vivacité de son expression et la grâce de ses manières donnaient un charme supplémentaire à ses traits parfaits et à son corps splendide.

Elle était de taille moyenne avec des formes pleines, gracieuse comme un fauve mais voluptueuse dans la rondeur hardie de ses seins et de ses cuisses. Son teint était merveilleusement clair. Sa peau blanche comme neige était si transparente qu’on devinait nettement au-dessous une nuance rose délicate, surtout sur ses petites oreilles et au bout de ses doigts. Une nuance plus profonde de rose teintait ses lèvres et sa bouche semblait une rose rouge épanouie. Ses grands yeux noisette étaient larges et clairs, et les longs cils qui les voilaient en partie ne pouvaient dissimuler leur éclat.

Ses cheveux étaient de couleur châtain foncé, mais à la lumière, ils devenaient châtain doré ; ils commençaient à friser au sommet de sa tête où ils se séparaient en longues mèches luxuriantes qui seraient descendues jusqu’à ses genoux