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tapis ; un signe de modestie apparut sur ses joues, s’éloigna, pâlit, puis apparut de nouveau, plus rose qu’avant. Sa main tremblait dans la mienne. Sa tenue n’était pas en accord avec son apparence. Elle était vêtue d’une mousseline sans aucun ornement et ses cheveux étaient simplement brossés ; mais quelque chose dans son air me convainquit que c’était une grande dame, et qu’elle se trouvait dans une situation embarrassante.

« Belle dame, dis-je, votre choix est tombé sur quelqu’un qui sait apprécier votre délicatesse, malgré les circonstances étranges qui vous ont amenée à cela ».

Un sourire reconnaissant éclaira un instant son beau visage, mais elle détourna involontairement sa joue du baiser que j’allais y poser. Elle ne répondit pas, pas plus qu’elle ne parla une seule fois durant toute la rencontre.

À ce moment-là, je sentis que la tâche de lui donner un enfant serait la plus agréable que j’aie jamais eu à accomplir. Elle resta passive, plongée dans une profonde rêverie, paraissant presque inconsciente tandis que je détachais sa robe et la laissai tomber par terre. Ses sous-vêtements étaient de la batiste et de la dentelle les plus fines. La broche qui attachait sa chemise était un gros diamant, ce qui confirma mon opinion que c’était une dame de haut rang.

J’embrassai ses beaux seins blancs, maintenant dévoilés. Elle sortit de sa rêverie en rougissant à nouveau et, allant de l’autre côté du lit, elle ôta ses chaussures en me tournant le dos, de telle sorte que je ne pus apercevoir sa cheville finement tournée. Puis elle laissa tomber son jupon et se mit au lit en se couvrant, le visage et le reste.

Je me déshabillai et la rejoignis. Je la pris dans mes bras et l’embrassai tendrement. Bien qu’elle accepte que mes lèvres se délectent de sa bouche mûre, les siennes ne bougèrent pas pour me rendre mes baisers. Mes mains rôdaient sur toutes les parties de son beau corps. Tant qu’elles s’attardèrent sur ses seins, elle resta passive, mais quand je me mis à jouer gentiment avec les boucles