Page:The Power of lust (extract A night in a moorish harem), 1991.djvu/74

Cette page n’a pas encore été corrigée

Alice était une petite blonde, la plus petite jeune mariée que j’aie jamais vue en Grande-Bretagne. Elle était si mince et avait de grands yeux bleus si innocents qu’elle avait l’air d’une enfant dans une robe de femme. Charlie était un jeune médecin ; il avait à peu près le même âge et la même taille que moi. Après le petit-déjeuner, il partit pour Édimbourg où il consultait pendant la semaine pour revenir passer le dimanche près de son épouse.

Pendant son absence, je prêtai une attention assidue à Alice, espérant l’amener à une intrigue. Elle était très vive, mais toute sa vie était consacrée à Charlie, et on voyait qu’elle l’aimait toujours profondément. Je tombai amoureux de sa beauté ingénue. Je voulais la posséder, ne fût-ce que pour une seule étreinte et son indifférence me la faisait désirer encore plus ardemment. Toute la semaine, je me mettais au lit la tige rigide et brûlante et sans qu’elle le sache, tout près de cette petite beauté.

Le samedi soir ramena Charlie, tout rayonnant de la promesse que j’avais entendu Alice lui faire la semaine précédente. J’étais assis à lire dans ma chambre quand ils vinrent dans leur chambre pour se coucher. Les baisers qu’ils échangèrent dès que la porte fut fermée m’exaspéraient et mon sexe devint tout à fait raide. Juste à ce moment, il y eut un appel demandant que Charlie se rende à un hameau voisin pour soigner un membre cassé ; murmurant un juron, il obéit à contrecœur à cet appel.

Je savais que ça lui prendrait au moins trois heures. J’entendis Alice se déshabiller, puis le tintement d’un petit jet d’eau dans les toilettes ; elle éteignit alors la lumière et alla se coucher. Nuit après nuit, la petite mariée s’était couchée sans savoir qu’elle était près de moi, et maintenant elle était à nouveau endormie, comme je pouvais l’entendre à sa respiration régulière — mais ce soir, sa porte était déverrouillée en attendant Charlie.

Serait-il possible de me faire passer pour lui ? Le risque était terrible, mais la rigidité de mon membre réussit à vaincre ma raison et ma conscience. Si je pouvais remplir ce charmant petit ventre, le monde pourrait disparaître, je n’en aurais cure.