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Il essaya à nouveau de me prendre dans ses bras, mais je luttai de telle sorte que ma chemise se déchira et je me recroquevillai nue sur le sol. Il demanda alors aux femmes de me tenir. Chacune d’elles me saisit un pied ou une main et on me maintint sur le dos, bras et jambes écartés, essoufflée par la lutte. Il monta sur moi et me pénétra d’une poussée sauvage et brutale qui déchira mon pucelage avec une douleur atroce.

Au prix d’un effort énorme, je me libérai de la main de l’une des femmes et saisis le poignard du Turc qui se trouvait près de la pile de vêtements qu’il avait enlevés. Les femmes me lâchèrent et le Turc sauta en arrière sans avoir eu le temps de répéter son assaut. Je bondis dans un coin de la pièce, submergée de honte et de rage, prête à tuer le premier qui me toucherait.

Le Turc tenait d’une main son membre tout raide taché de mon sang ; son désir frustré cherchait le premier objet sur lequel se vider.

« Achmet, allonge-toi, dit-il, il faut que je trouve un endroit bien serré pour finir ce que j’ai commencé avec cette fille ». La personne à qui il s’adressait était allongée sur le ventre, alors le Turc releva les jupons qui dissimulaient jusque-là le sexe du porteur.

C’était en effet un garçon, sans doute un eunuque que le Turc gardait pour compléter les services des trois femmes de son harem. Le Turc monta sur le corps prostré de ce garçon, et ses grognements de satisfaction révélèrent bientôt qu’il avait assouvi son désir brutal. Je remerciai le ciel de pas avoir eu à le subir.

Au bout d’un moment, il se leva et rabaissa le jupon sur les fesses du garçon qui reprit l’apparence d’une femme.

« Enfermez cette petite tigresse toute seule dans une pièce », dit le Turc en me désignant. Contente d’être seule, j’entrai dans la pièce sans opposer de résistance. Je cherchai autour de moi quelque chose à me mettre. Le seul vêtement que je pus trouver était un riche costume de garçon qui sans doute