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mais je ne l’avais pas fait. N’était-ce pas justement ce que je souhaitais ?

La porte s’ouvrit et Pedro entra. Je tenais ma chemise de nuit devant mon corps nu. « Si je suis trop hardi, dit-il très agité, dites-moi de partir et je me jetterai dans le Tage. Il n’avait pas besoin d’être moitié aussi tragique.

— Pedro, lui dis-je, trouvez-vous bien poli de garder vos vêtements devant une femme déshabillée ? »

Son visage anxieux se détendit aussitôt dans un sourire rassuré. Il embrassa galamment ma main — il ne prétendait pas du tout embrasser mes lèvres — puis se déshabilla jusqu’à présenter devant moi son corps herculéen aux proportions gigantesques entièrement nu et complet. Son immense engin était fièrement érigé et semblait énorme même pour un tel géant. Il en pendait des boules qui à mes yeux un peu effrayés semblaient aussi grosses que des noix de coco. Il me souleva sans effort jusqu’à amener mes seins à la hauteur de sa bouche et en avala un presque entièrement. Mes jambes s’enroulèrent autour de sa taille et je me retrouvai assise sur le gland de sa grande tige raide, posé directement sur les lèvres de mon fourreau où il entra lentement.

Enfin, je fus pénétrée par une verge que je pouvais à peine accueillir ; cet effort fut cependant accompagné d’un plaisir extrême. Je détendis mes jambes et me laissai tomber de tout mon poids pensant que tout son pieu m’avait pénétrée. Puis je regardai dans le miroir devant lequel nous nous trouvions. On pouvait voir au moins la moitié de sa grande tige dépasser au-dessous de mes fesses. Il ressemblait à une grande statue d’ébène portant contre lui une statue d’ivoire. Je remuai les hanches et je pouvais voir dans le miroir que ce mouvement faisait entrer davantage son membre, mais j’en avais déjà tellement en moi que j’atteignis rapidement un merveilleux orgasme.

À ce moment, il m’étendit sur le dos sur le lit