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se resserrent si étroitement autour de moi que je demeurai écrasée par leur étreinte commune.

Je jetai mes bras autour de Cassim et lui demandai de s’allonger sur le dos et de m’étendre sur lui ; ses reins étaient plus hauts que sa tête grâce aux oreillers sur lesquels il était couché. Je reculai un peu pour qu’il puisse guider complètement son membre en moi.

Mes fesses offraient une belle cible à Selim, qui me monta par derrière et introduisit lentement son manche dans le même orifice que Cassim en un ajustement très serré. Le premier entré avait enflammé mon désir et j’accueillis avidement le second. La position de Cassim était telle qu’il pouvait à peine bouger, mais Selim plongeait encore et encore sa longue mince tige en moi par des poussées où il mettait toute son énergie. Ma gaine était distendue au maximum par les deux hampes, mais tous ses nerfs vibraient de plaisir.

Rudolf s’agenouilla alors devant moi, les genoux de chaque côté de ma tête. Je restai un instant les joues brûlantes posées sur ses parties génitales, puis je saisis sa hampe dans ma main et la secouai de haut en bas.

Cassim, les bras autour de ma taille, suçait mes seins. Selim enserrait mes cuisses à chaque coup qu’il donnait. Je sentis monter un plaisir triplement intense. Me laissant aller sauvagement, je pris le gland de Rudolf dans ma bouche, puis je frémis et jouis avec un gémissement qui résonna dans toute la pièce. Les trois hommes me suivirent dans le royaume de jouissance où je m’envolais.

Mon fourreau débordait de la double offrande qui jaillissait et giclait et éclaboussait. Ma bouche était remplie du sperme de Rudolf. Mes deux paires de lèvres dégoulinaient. Tout mon corps semblait s’imprégner de ces liquides féconds. Quand les soupirs mêlés des jeunes gens, qui faisaient écho à mes gémissements de plaisir,