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dans cette position comme un étalon aurait monté une jument. Elle ne sembla en rien réticente et mon membre à demi raide se fraya un chemin entre ses lèvres gonflées — au-delà de l’extraordinaire protubérance intérieure que mes doigts avaient tout d’abord découverte — et s’enfonça dans les plis humides et poisseux de son fourreau.

Ma tige s’enfonçait entre ses belles fesses qui cédaient sous la poussée au point que mes boules disparaissaient dans ses poils comme des œufs dans un nid. Mais je continuai à pénétrer cette masse accueillante sans me retirer une seule fois jusqu’à ce que mon sexe finisse de s’épanouir sous cette sensation délicieuse, et que mon gland et son ventre partagent ce violent désir. Je la tenais fermement, serrant un gros sein doux dans chaque main. J’aurais bien rendu hommage encore quelques minutes à ses reins voluptueux, mais Laura ne pouvait plus attendre.

Avec un soupir de satisfaction, son corps se ramollit, ses genoux cédèrent et elle se laissa tomber sur le ventre. Mon manche sortit d’elle bien plus raide qu’il n’y était entré. Le même bruit de succion qui avait mis fin à ma liaison avec Hélène les fit toutes rire.

« Il faut qu’on le mesure, dit l’une d’elles en enlevant son bracelet qu’elle ajusta autour de ma queue.

Mais elle ne put pas attacher le fermoir, le bracelet n’était pas assez grand. Elles essayèrent toutes avec leur bracelet, avec le même résultat.

— Comment faire pour mesurer sa longueur ? dit l’une d’elles.

— Quatre d’entre vous ont déjà pris cette mesure, dis-je, et vous savez que je l’ai promis à chacune. Laissez-moi à mon tour prendre quelques mesures, » ajoutai-je en déroulant la jarretière de la jambe de la dame la plus proche. C’était un morceau de fort ruban qui convenait admirablement à mon but. Je mesurai la taille de leurs seins et la circonférence de leurs cuisses, puis, au milieu de rires de protestation, j’écartai les poils entre chaque paire de cuisses pour mesurer la longueur de leurs fentes.

Pour cette dernière mesure, toutes voulaient