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sur le dos et dénoua le devant de ma chemise, puis il embrassa et caressa mes seins. Mon cœur se remit à battre violemment, mais nous continuâmes à échanger des baisers jusqu’à ce qu’il soulève soudainement le bas de ma chemise et se couche entre mes cuisses.

Je couvris alors mon visage de mes mains par honte, mais il fut tellement bon et doux que je m’habituai vite à la situation au point de le laisser retirer mes mains et coller sa bouche contre la mienne en un baiser passionné. Je sentis alors quelque chose qui se glissait entre mes cuisses. Cela entra dans ma toison jusqu’à toucher mes lèvres nues. Je sentis mon visage rougir de honte et je restai parfaitement passive.

Il y avait au moins deux heures qu’il était au lit avec moi avant qu’il ne s’aventure aussi loin. Il eut sa récompense, car un doux désir commença à se faire jour dans mon cerveau et le sang à circuler dans mes reins, et je désirai ardemment le contact qui s’annonçait. Je lui rendis un baiser aussi passionné que le sien ; c’était le signal qu’il attendait. Je sentis une pression sur mon hymen, pas assez forte cependant pour être douloureuse. La pression se relâcha, puis reprit à nouveau.

À ce moment-là, je fus envahie par le désir, et non seulement je lui rendis des baisers passionnés, mais je nouai mes bras autour de lui. Puis vint la poussée fatidique, qui déchira l’obstacle et m’atteignit au plus profond de mon être. Je poussai un cri, mélange de plaisir et d’agonie que je ne pus retenir à chacune des trois profondes poussées qui suivirent. Puis tout devint calme et ce fut comme un baume qui s’écoula, emplissant mon fourreau à la place de l’organe qui l’avait tellement troublé. Une langueur délicieuse s’empara de mon corps et je m’endormis dans les bras de mon mari.

En moins de six mois, les circonstances m’ont conduite à le tromper. Après notre mariage, notre position sociale nous contraignait à sortir beaucoup. Jouer aux cartes était alors très à la mode et les enjeux étaient de plus