Le poète n’a plus vingt ans Et ce n’est plus la joie, Quand il redit aux grands enfants Les contes de Mère L’Oie. Tous sont partis pour la pelouse. Au foot-ball joue un lord… Qu’ils sont loin les soirs de Toulouse Et mon bel âge d’or !
Je suis seul et mon cœur médite Loin du monde agité. Où sont Louis, Jean et Marguerite ? — Compagnons de l’été ? — J’ai connu des Îles exquises Du levant au ponant. Seigneur ! pardonnez mes méprises. Je suis si repentant.