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CHANTS DE L’ATLANTIQUE
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Mais toi, libre beauté ! rien ne peut te ternir,
Que t’importe demain que l’Europe s’effondre ?
Que t’importent passé, présent et avenir ?…

J’ai chanté mon poème au bord de tes deux grèves ;
Atlantique, merci, je te dois tous mes rêves !