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dans les moindres circonstances du jour, un je ne sais quoi qui rappelle l’Inde antique et sa poésie. J’écoutais leurs longues histoires entremêlées d’incidents qui donnent lieu à de nouvelles histoires, comme dans l’Hitopadeça. Quand le conte est fini, ils se demandent s’ils ont compris, et généralement ils répondent que non. Ils ne se piquent pas d’avoir de l’esprit. Souvent ils s’endorment tous, auditeurs et conteur.
J’ai quelquefois rencontré de petites cahutes isolées et éloignées des villages. Je demandais quels en étaient les habitants. On détournait tristement la tête sans me répondre. Je compris que c’étaient des Parias. Ils restent le jour dans de mauvaises cahutes en terre d’où ils