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spactacles faits uniquement pour flatter les yeux et les sens les plus grossiers qu’ils ont perdu le goût et le sentiment de la nature. Quand on a séjourné quelque temps dans les grandes villes et au milieu des natifs, on finit par se plaire aux métaphores, et à cette nature artificielle qui émaille les parterres de la poésie persane, et qui semble l’image exacte de ce qui frappe continuellement les yeux.
Dans ce pays si vanté pour la beauté de ses femmes, il est impossible de se figurer les horribles créatures qu’on rencontre dans les rues. Quant aux femmes un peu distinguées on ne les voit pas. Il ne reste que les bayadères, mais comme on exporte les jolies à Lahore et dans