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lon les différents pays, mais elle est uniforme quant aux temps d’arrêt sur les nasales. La raison de ce temps d’arrêt sur un son si peu harmonieux s’explique très-bien pour ceux qui connaissent la difficulté de retrouver les mots altérés par les lois du sandhi. Le professeur ne voulant pas paraître embarrassé, se donne le temps de lire et de recomposer les mots ; puis quand il les a retrouvés, il lit précipitamment jusqu’à ce qu’il rencontre une autre nasale sur laquelle il s’arrête de nouveau. Cette manière étrange de lire nuit singulièrement au charme des beaux vers sanskrits ; aussi quand les pandits connaissent bien le morceau d’avance, ils la modifient beaucoup et elle n’est plus ridicule.