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liberté des brutes, si ou voulait les appeler libres parce qu’elles n’ont aucune loi. Désobéir à Dieu, blasphémer la providence dans les diverses nécessités, adopter la loi du péché, serait la liberté d’un rebelle qui se croit libre parce qu’il ne veut aucune loi[1]. »


  1. Turchi, Homélie pour le Jour de la Pentecôte, 1793.