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VERSION

A. — Revidinte sian patrinon post longa malsano, la junulo estas ekkriinta (aŭ pli bone : ekkriis), ke tiu vido lin resanigos. — Ne salutita (aŭ : salutite) de siaj amikinoj, la kuracistedzino estis elirinta el nia domo, kiam mi alvenis. — Antaŭ ol skribi, vi estus devinta paroli kun ŝi pri tiu afero. « Sendube, patro, kaj efektive mi estis intencinta diri al ŝi ĉion buŝe, sed ĉar ŝi estis foririnta, mi necese skribis, por ke ŝi sciiĝu mian volon. »

B. — Kiam la vento estis faliginta la foliojn de la arboj, ni preferis restadi hejme (pli), ol promenadi en la arbaro, kvankam ofte la vetero estis tre agrabla. — Tuj kiam mia fratino estos alveninta, ni disiros : mi forironte Parizon, ŝi restante sola hejme. — Ne timante la hundojn, dormu, kato, trankvile en la hundejo. — En la lingvo Esperanto ni vidas (kaj ni estas sendube pravaj) la estontan duan lingvon de ĉiu instruita homo.

THÈME

A. — Allez en avant, mes enfants, sans craindre (= ne craignant pas) le danger. — Jusqu’à ce que le train soit (= sera) arrivé j'ai assez de temps pour courir à la maison et dire à mon beau-frère qu'il vienne avec nous à la campagne. Eh bien ! Pierrot, fais-le, et hâte-toi ! — Aussitôt que la neige aura couvert la terre nous irons sur la colline. — Il faut que vous marchiez plus rapidement quand le brouillard couvre la vallée.

B. — Nous nous serions promenés hier si la température n’avait pas été glaciale : le vent s'était mis à souffler violemment et la neige était bientôt tombée à gros flocons, quand nous décidâmes de rester auprés du feu. — Quand nous rentrâmes à la maison, nous apprîmes que, sans avoir (= n’ayant) rien écrit pour qu’on lui préparât une chambre, mon pére venait d’arriver (= justement était arrivé).