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ESPERANTO.
POÉSIE
L'Espero
(Suite.)
(Suite.)
Ne al glavo sangon soifanta
Ĝi la homan tiras familion :
Al la mond’ eterne militanta
Ĝi promesas sanktan harmonion.
Sub la sankta signo de l'espero
Kolektiĝas pacaj batalantoj
Kaj rapide kreskas la afero
Per laboro de la Esperantoj.
L. ZAMENHOF[1]
L'Espoir
(Suite.)
(Suite.)
Ce n'est pas au glaive altéré de sang qu'il attire la famille humaine : au monde éternellement en guerre il promet une sainte harmonie.
Sous le signe sacré de l'espérance se réunissent de pacifiques combattants et l'œuvre croît rapidement par le travail de Ceux-qui-espèrent.
- ↑ Le Docteur signe également Samenhof. — On sait que, médecin russe, il publia ses premiers ouvrages en 1887 sous le pseudonyme de Dr Esperanto.
