racine? OLYMPION Non. CLÉOSTRATE Un concombre? OLYMPION Non, certainement, par Hercule ! Ce n’était rien du genre des légumes. En tout cas, la nielle ne l’avait jamais endommagé; car quoi que ce fût, c’était bien gros... MYRRIINE Qu’arrive-t-il enfin? parle. OLYMPION Là, je lui dis : Casine, ma petite femme, je t’en prie, pourquoi me repousser, moi, ton mari? Par Hercule !je ne mérite pas que tu me fasses cela. Je t’ai voulue avec tant d’ardeur !... Elle ne répond mot, et elle fait un rempart de sa tunique à ce qui fait que vous êtes femmes... Quand je vois le passage fermé de ce côté, je la prie de me laisser prendre l’autre. Je veux, pour l’approcher, me retourner sur le coude...; muette, elle s’échappe... Je me lève, et je m’apprête à la... : elle... MYRRHINE Son récit m’amuse beaucoup. OLYMPION... Un baiser... Je sens une barbe qui me pique les lèvres comme les soies d’un sanglier. Tout à coup, pendant que je suis agenouillé, elle me frappe de ses deux pieds la poitrine. Je tombe du lit la tête l
Page:Théâtre de Plaute, Panckoucke, tome 3.djvu/304
Cette page n’a pas encore été corrigée