Tu ne peux pas l’empêcher.
Tu m’’assommes.
Que ne dis-tu la vérité !
Je crois : ce vœu sincère.
Retourne-toi de mon côté, ma tout aimable.
Oui, comme tu l’es pour moi. Te plaît-il de me dire d’où viennent les parfums qu’on sent ici ?
Oh ! malheureux ! je suis perdu ; me voilà pris à ne pouvoir m’en défendre. Vite, que j’essuie ma tête avec mon manteau. Puisse le bon Mercure t’exterminer, maudit parfumeur, qui m’as donné ces parfums !
Hé bien ? vaurien, frelon à tête blanche. Je ne sais qui me retient, que je ne te dise tout ce que tu mérites. À ton âge, courir les rues, tout plein de parfums, mauvais sujet !
Je te jure que c’est en faisant compagnie à un ami qui achetait des parfums.
Quelle présence d’esprit ! N’as-tu pas de honte ?