Page:Textes choisis (Leonardo da Vinci, transl. Péladan, 1907).djvu/323

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mence à bouillir et à fermenter ; l’âme commence à abandonner le corps ; déjà le visage tourne vers le ciel, le cerveau trouble la raison de la division de son corps ; la contamination commence à le rendre furieux, à la façon des fous ; il commet d’irréparables erreurs, et frappe ses amis…