pent un plus grand espace et diminuent pro- portionnellement d’intensité.
Si les éléments se révélaient l’un l’autre avec les figures que donne Platon, il se produirait du vide entre eux. (G. 15, r .)
174. — Toute action ne peut s’exercer que par le mouvement. (G. 73, r.)
175. — Le mouvement est la cause de toute vie. (T. 36. p.)
176. — La pesanteur, la force et le mouve- ment accidentel, ainsi que la percussion, sont les quatre accidents potentiels par lesquels toutes les œuvres visibles des mortels ont leur être et leur fin. ( L . 68, r.)
177. — Aucune chose sans sensibilité ne se meut par elle-même. Son mouvement lui vient d’ailleurs. (A. 34, r.)
178. — Tout mouvement naturel et continu désire conserver son cours, par la ligne de son principe, en quelque lieu que ce soit ; même s’il varie, il se réclame de son principe. (F. 74, ç.)
179. — Tout mouvement tend à se mainte- nir ; tout corps en mouvement continue à se mouvoir, tant que l’impulsion de la puissance de son moteur, en lui, se conserve. (R. 859.)
180. — Tout maintient violemment son exis- tence. (TF. 13, r.)
181. — La force (en manque ou en surcroît) est générée, comme fille du mouvement maté-