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y ajoutant les recensions de E. Preuschen, dans la Deutsche Litteraturzeitung, XVIII (1897), pp. 282-284 ; de P. Wendland, dans la Berliner philologische Wochenschrift, XV (1895), pp. 655-666 ; de Hutchison, dans The Classical Review, VIII (1894), p. 417 et suiv.) ; de Wobbermin, Religionsgeschichtliche Studien zur Frage der Beeinflussung des Urchristentums durch das antike Mysterienwesen, Berlin, 1896 (en y ajoutant la recension de E. Rhode, dans la Berliner philologische Wochenschrift, XVI (1896), pp. 1577-1586) ; de Cheetam, The Mysteries pagan and Christian, being the Hulsean Lectures for 1896-7, Londres, 1897 ; de J. B. Mayor, dans l’introduction du VIIe livre des Stromates, publié par F. J. A. Hort, Londres, 1902.

XL, 4. Sur la liturgie des mystères de Mithra, cf. Les Mystères de Mithra, par Franz Cumont, Paris, 1902, pp. 125-147. — P. 130 : « …Le myste qui aspirait au titre de miles, se voyait présenter sur une épée une couronne. Il la repoussait de la main et la faisait passer sur son épaule en disant que Mithra était sa seule couronne. Désormais il n’en portait plus jamais, ni dans les festins, ni même si on lui en décernait une comme récompense militaire, et il répondait à celui qui la lui offrait ; « Elle appartient à mon dieu », c’est-à-dire au dieu invincible. » — Cf. p. 101 : « Tertullien rapproche aussi la confirmation de ses coreligion-