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XXXVI, 4 : cum Africanis, mss.Quid cum Africanis Pamèle, Precschen et Van der Vliet, p. 55.

XXXVIII, 7 : manu. — Manus A (adopté par Rauschen). Expositione. — Expositiones L. La désinence est effacée dans A.

XXXVIII, 10. « Dès l’origine, affirme Tertullien dans le De Pudicitia, VIII, 12 [éd. de Labriolle, coll. Hemmer-Lejay, p. 99], les hérétiques ont conformé la matière même de leurs doctrines aux circonstances particulières indiquées dans les paraboles. Délivrés de la règle de foi, il leur a été loisible de rechercher et de combiner des traits analogues en apparence à ceux des paraboles. »

XXXIX, 3. Isidore de Séville a manifestement utilisé ce passage, Orig., I, xxxix, 25 : « Centones apud grammaticos vocari solent qui de carminibus Homeri vel Vergilii ad propria opera more centonario in unum sarcinntur corpus, ad facultatem cujusque materiae. Denique Proba, uxor Adelphi, centonem ex Vergilio de fabrica mundi et evangeliis plenissime expressit, materia composita secundum versus et versibus secundum materiam concinnatis. » — Nous possédons encore un certain nombre de « centons » virgiliens. On les trouvera réunis dans Baehrens, Poetae latini minores (Bibl. Teubner), IV, pp. 191-240. Il y eut même des centons chrétiens extraits de Virgile, par ex. le Cento