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de l’hérésie, si tu entrais dans les plans de la sagesse du Créateur, tu lui rendrais grâces d’avoir béni l’union de l’homme et de la femme. C’est à elle que lu dois ton Marcion.

XXX. Assez sur le dieu de Marcion. Notre définition de l’unité divine, son essence, ses attributs prouvent indubitablement qu’il n’existe pas. Tout cet opuscule roule sur ce point. Si nos démonstrations paraissent insuffisantes à quelque lecteur, qu’il s’attende à en trouver le développement en son lieu, ainsi que l’examen des passages des Ecritures sur lesquels s’appuie Marcion »