ressentie, bien que mon outil soit d’une taille non négligeable.
Il étira son trou, le bout entra, il bougea un peu, la moitié du phallus était enfoncée ; il appuya, se souleva, puis redescendit ; après un ou deux coups, toute la colonne turgescente était logée à l’intérieur de son corps. Lorsqu’il fut bien empalé, il passa ses bras autour de mon cou, me serra dans ses bras et m’embrassa.
« Regrettes-tu de t’être donné à moi ? » demanda-t-il en me pressant convulsivement comme s’il avait peur de me perdre.
Mon pénis, qui semblait vouloir donner sa propre réponse, se tortillait dans son corps. Je l’ai regardé dans les yeux.
« Penses-tu qu’il aurait été plus agréable d’être maintenant allongé dans la vase de la rivière ? »
Il frissonna et m’embrassa, puis avec empressement : « Comment peux-tu penser à des choses aussi horribles en ce moment, c’est un véritable blasphème pour le dieu Mysien. »
Il se mit alors à chevaucher une course priapique avec une habileté magistrale ; de l’amble, il passa au trot, puis au galop, se soulevant sur la pointe des pieds et redescendant de plus en plus vite. À chaque mouvement, il se tordait et