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oublié de m’en parler, ou bien n’avait-il pas jugé utile de le faire.

Oui, certainement, il devait en être ainsi. Teleny n’a pas pu me tromper.

Je regardais à nouveau. La lumière à l’intérieur de la pièce étant beaucoup plus forte que celle du hall, je pouvais tout percevoir clairement.

Un homme dont je ne voyais pas la silhouette était assis sur cette chaise conçue par l’esprit ingénieux de Teleny pour accroître la félicité sensuelle. Une femme aux cheveux noirs et ébouriffés, vêtue d’une robe de satin blanc, était assise à califourchon sur lui. Elle tournait ainsi le dos à la porte.

Je m’efforçais de saisir chaque détail et je vis qu’elle n’était pas vraiment assise, mais qu’elle se tenait sur la pointe des pieds, de sorte que, bien qu’assez dodue, elle sautait légèrement sur les genoux de l’homme.

Bien que je ne puisse pas voir, je compris qu’à chaque fois qu’elle retombait, elle enfonçait dans son trou le pivot de bonne taille sur lequel elle semblait si bien calée. De plus, le plaisir qu’elle en retirait était si excitant qu’il la faisait rebondir comme une balle élastique, mais seulement pour retomber et engloutir ainsi entre ses lèvres pulpeuses, spongieuses,