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les fesses levées vers nous. Deux hommes allèrent s’asseoir de chaque côté pour qu’il puisse poser ses jambes sur leurs épaules, puis il saisit ses fesses, qui étaient aussi volumineuses que celles d’une vieille prostituée bien grasse, et les ouvrit de ses deux mains. Ce faisant, nous pûmes voir non seulement la raie de séparation sombre, l’auréole brune et les poils, mais aussi les mille rides, crêtes, ou appendices semblables à des branchies, et gonflements tout autour du trou, et à en juger par eux et par la dilatation excessive de l’anus et le relâchement du sphincter, nous pûmes comprendre que ce qu’il avait dit n’était pas de la vantardise.

« Qui aura la bonté d’humidifier et de lubrifier un peu les bords ? »

Beaucoup semblaient désireux de s’offrir ce plaisir, mais il fut attribué à un homme qui s’était modestement présenté comme un maître de langues[trad 1], « bien qu’avec ma compétence », ajouta-t-il, « je pourrais bien me qualifier de professeur dans le noble art. » C’était en effet un homme qui portait le poids d’un grand nom, non seulement de vieille lignée, jamais souillée par un sang plébéien, mais aussi célèbre à la guerre, dans l’art de la rhétorique, la littérature et la

  1. Note de Wikisource. En français dans le texte.