Page:Teleny, or The Reverse of the Medal, t. I.djvu/98

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
90

la grosse et coriace vieille fille, dans son impatience de jouir, pressait maintenant la tête de son amante avec ses deux mains et de toutes ses forces, comme si elle essayait vraiment de tout faire entrer dans son vagin.

Le spectacle était vraiment répugnant et j’ai détourné la tête pour ne pas le voir, mais la vue qui s’offrait tout autour était encore plus répugnante.

Les putains avaient déboutonné tous les pantalons des jeunes hommes, certaines tripotaient leurs organes, caressaient leurs testicules ou léchaient leur derrière ; l’une d’elles était agenouillée devant un jeune étudiant et suçait avidement son phallus énorme et charnu, une autre fille était assise à califourchon sur les genoux d’un jeune homme, bondissant et redescendant comme si elle avait été dans un baby-jumper, faisant manifestement une course paphienne, et (peut-être qu’il n’y avait pas assez de prostituées, ou que c’était fait pour le plaisir de la chose) une femme était prise par deux hommes en même temps, l’un devant, l’autre derrière. Il y avait aussi d’autres dépravations, mais je n’ai pas eu le temps de tout voir.