Page:Teleny, or The Reverse of the Medal, t. I.djvu/50

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
42

soulevais légèrement sa chemise, puis j’écartais délicatement les poils et séparais les deux belles lèvres qui s’ouvrirent d’elles-mêmes au contact de mes doigts, comme pour m’offrir l’entrée.

Cela fait, j’ai posé mes yeux avides sur cette délicate chair rose qui ressemblait à la pulpe mûre et succulente d’un fruit savoureux et appétissant à regarder, et dans ces lèvres cerise se nichait un petit bourgeon, une fleur vivante de chair et de sang.

Je l’avais évidemment chatouillé du bout du doigt, car lorsque je le regardai, il frémit comme s’il était doué d’une vie propre, et il s’érigeait vers moi. J’avais envie de le goûter, de le caresser, et c’est ainsi qu’incapable de résister, je me suis penché et j’ai pressé ma langue sur lui, au-dessus, à l’intérieur, cherchant chaque coin et recoin autour de lui, m’insinuant dans chaque fente et recoin, tandis qu’elle, prenant manifestement plaisir à ce petit jeu, m’aidait dans mon travail, secouant ses fesses avec un plaisir lascif de telle sorte qu’après quelques minutes, la petite fleur commença à étendre ses pétales et à répandre sa rosée divine, dont ma langue n’a pas laissé s’échapper une seule goutte.

Pendant ce temps, elle haletait, criait