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l’appellent les Italiens, sortant de sa cage, il l’introduisit dans l’ouverture prête à le recevoir.

Elle se frotta voluptueusement contre lui, mais il dut la retenir, car ses jambes étaient sur le point de céder, tant le plaisir qu’elle éprouvait était grand. Il l’étendit donc sur le tapis de panthère à ses pieds, sans se détacher d’elle.

Toute timidité était maintenant vaincue. Il retira ses vêtements et s’enfonça de toutes ses forces en elle. Pour recevoir son instrument au plus profond de son fourreau, elle le serra avec ses jambes de telle sorte qu’il ne pouvait presque pas bouger. Il ne put donc que se frotter contre elle, mais ce fut plus que suffisant, car après quelques violentes secousses de leurs fesses, jambes pressées et seins écrasés, le liquide brûlant qu’il injecta dans son corps lui donna une jouissance spasmodique, et elle tomba sans connaissance sur la peau de panthère tandis qu’il roulait, immobile, à ses côtés.

Jusqu’alors, je sentais que mon image avait toujours été présente devant ses yeux, bien qu’il jouît de cette belle femme, si belle, car elle n’avait pas encore atteint l’épanouissement d’une femme mûre ; mais maintenant, le plaisir qu’elle lui avait donné