Lambert ! — Oui, Monsieur, je suis votre serviteur ! — Regardez vers l'Orient, — et regardez vers l’Occident, — si personne ne vient de Saint Jacques — Oui, Monsieur, ils ont pensé à moi, — ils m’ont apportée une truie, — la truie était pourrie, — le cheval le valait, — la vache était fatiguée, — le poulain était noble, — le veau était incomplet (demi), — le porc était le mien, — le mouton était singe, — le chien était de m…, — le chat était mouillé, — le cygne était attaché (?) — et le coq était au delà de l’eau, — pikatorium, — klink, klank, klorium !
prières parodiées ou prières sauvages.
On parodie surtout les prières généralement connues : le Pater, l’Ave, le signe de la Croix.
Moeder ! — Vader ! — ’k heb honger ! — Waar ! — Daar !
Mère ! (On met la main sur le front.) — Père ! (Id. sur la poitrine ou le menton.) — J’ai faim ! (Id. sur le côté gauche ou sur la joue gauche) — Où ? (Id. sur le côté droit ou sur la joue droite.) — Là ! (Id. dans la bouche ouverte.)
Onze Vader, die in de hemelen zijt, — de pastoor was zijn toepe kwijt, — hij ging er achter zoeken, — ze lag vol heetekoeken !
Notre Père qui êtes aux cieux, — le curé avait perdu son bonnet, — il alla le chercher, — il était rempli de crêpes !
Onze vader Pier Verzelen, — we zullen l’avond knollekes stelen, — komt de(n) boer, we zullen loopen — komt hij niet, — al zijn knollekes zijn te nie !
Notre père Pierre Verzelen — nous volerons des navets ce soir ; si le paysan vient, nous nous enfuirons, — s’il ne vient pas, — tous ses navets seront pris !
Onze vader, die in de hemelen zijt, — Peetje was zijn palope kwijt, — hij ging er achter zoeken, — hij vond een brokke koeke, — hij stak ze in zijnen mond, — ’t was al koeistr...t !