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L’ARSENAL DE FOU-TCHÉOU


J’ai dit dans le cours de ces études qui se rattachent à notre civilisation que la Chine avait à maintes reprises témoigné de son désir de s’initier aux travaux et aux arts des Européens. J’ai démontré que l’esprit de nos institutions nous invitait à pratiquer les arts utiles et que le seul effort des peuples étrangers devait consister à montrer d’abord l’utilité de leurs nouveaux procédés et de leurs découvertes mécaniques.

Je n’ai pas cru être excessif aux yeux des Occidentaux en réclamant pour mes compatriotes ce