Vous avez tort. — Eh bien, je vais vous chanter la romance intitulée : « L’oiseau Louen séparé de la compagne qu’il aime. »
L’époux et l’épouse sont réunis. Pourquoi voulez-vous décrire avec votre luth les chagrins du veuvage ?
Alors, chantons une autre chanson. Que dites-vous de la romance intitulée : « Le ressentiment de la belle concubine Tchao-Kiun ? »
Qu’avez-vous besoin de chanter la vengeance dans le palais des Han, quand la paix et la concorde règnent ici ? Seigneur, dans le calme de cette belle soirée, vis-à-vis de ces perspectives si ravissantes, chantez-moi donc la romance : « Quand la tempête agite les pins. »
Je le veux bien, c’est une belle romance.
Vous vous trompez. Pourquoi chantez-vous cette romance sur l’air : « Quand je pense que je retournerai dans mon pays natal ? »