Page:Tchékhov - Salle 6, trad Roche, 1922.djvu/248

Cette page n’a pas encore été corrigée

« Pleurer ! pleurer ! » pensait Ouzélkov. Mais le moment des larmes était passé. Le vieillard eut beau cligner des yeux, tâcher de se disposer à la tristesse, les larmes ne coulèrent point et la boule ne monta pas à sa gorge… Au bout de quelques minutes, Ouzélkov y renonça et revint prendre Châpkine. « Vieillesse ! songeait-il. Il n’est qu’un plaisir, les larmes, et elles ne coulent pas !… »