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possible de comprendre les joies suaves d’une conscience qui a enfin trouvé la paix.

Et que les catholiques, dont la foi sait apprécier les splendeurs de la miséricorde céleste, unissent leurs prières aux miennes pour demander à Dieu pour moi la grâce de la persévérance.

Qu’ils prient pour ceux qui me sont chers. Qu’ils prient pour tous les malheureux que mes mauvais écrits ont trompés et détournés de la religion.


Paris, le 25 décembre 1886.