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Les Surveillants répètent l’annonce.

Le Vénérable. — Debout et à l’ordre, mes Frères !

Il frappe cinq coups, que les Surveillants répètent. Tout le monde se lève et se met à l’ordre de Compagnon.

Le Vénérable. — À moi, mes Frères, par le signe (on exécute le signe du grade), par la batterie (chacun fait la batterie de Compagnon), et par l’acclamation mystérieuse !

Tous. — Houzé ! houzé ! houzé !

Le Vénérable. — Les travaux de Compagnon sont fermés, et, à mon premier coup de maillet, nous allons reprendre ceux d’Apprenti qui n’avaient été que suspendus. — (Il frappe un coup de maillet.) — À l’ordre d’Apprenti, mes Frères !

On obéit.

Le Vénérable. — Frères Premier et Second Surveillants, demandez aux Frères qui décorent vos colonnes s’ils ont quelque chose à proposer dans l’intérêt de l’Atelier du premier degré.

Les Surveillants répètent l’annonce et informent le Vénérable du résultat. En général, comme chacun soupire après la clôture définitive, personne ne demande la parole, et le 1er Surveillant n’a qu’à déclarer au Vénérable que les colonnes sont muettes.

Le Vénérable, après un coup de maillet. — Frères Premier et Second Surveillants, annoncez sur vos colonnes, comme je le fais à l’Orient, que je vais fermer les travaux de cette Respectable Loge.

Les Surveillants répètent l’annonce.

Le Vénérable frappe trois coups de maillet.

Les Surveillants, à leur tour, frappent chacun trois coups.

Le Vénérable. — À moi, mes Frères, par le signe (tout le monde avec ensemble exécute le signe qui est, cette fois, celui du premier degré), par la batterie