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Le moine apostat conjura le démon de prononcer un oracle, c’est-à-dire lui ordonna de répondre, par la bouche de cette tête coupée, à une question secrète du roi. (Page 64.)

par une succession de songes qu’elle avait été amenée à connaître le Dieu-Bon. Elle donna tous les détails que je viens de rapporter, se félicitant de ses lectures de Dumas père, de Soulié et surtout d’Eugène Sue. Cette malheureuse, qui parlait avec une certaine facilité et non sans élégance, nous fit une sortie contre les prêtres d’Adonaï, qui fut fort applaudie. Elle avait tout au plus vingt-un ans. On voit qu’elle avait rapidement progressé dans la voie du mal.

Quant à sa fin, elle est bien triste ; je l’ai sue par ouï-dire, il n’y a pas