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Lorsque le mage Eugène Vintras priait sa divinité, il s’élevait en l’air, devant les fidèles de son culte infernal. (Page 268.)

blesse ; ja tant comme elle vive elle ne fera bien ne ne fera que moy grever, ne ja que elle vive je n’auray ma paix, mais se elle estoit morte et son fils mort, je auroye ma paix tantost au Roy, car de luy ferois-je tout ce qu’il me plairoit, je n’en doubte mie. Si vous prie que vous le me baptisiez, car il est tout fait, il n’y faut que le baptesme, je ay tout prest les parrains et les marraines et quand que il y a mestier, fors le baptisement… Il n’y fault à faire fors aussi comme à un enfant baptiser, et dire les nons qui y appartiennent. »