Page:Tastu - Poésies nouvelles, 3ème édition, 1838.djvu/179

Cette page a été validée par deux contributeurs.
171
À M. DE CHATEAUBRIAND.


Alors mes mains encor se joignent, et ma tête
S’incline pour saisir jusques aux moindres sons,
Et mon genou se ploie à demi, quand je prête,
Enchantée et muette,
L’oreille à ses leçons !